C’est le temps de conclure. Déjà. Si vite. Ça vient à peine de commencer. Il me semble que je viens de déposer mes valises, prononcer mes premiers mots en lingala, à prendre mes points de repère à Kinshasa. Ça va trop vite et c’est bon signe: signe que ça été fascinant, intéressant, qu’on ne s’est pas ennuyé. Avec tous nos efforts, avec les éléments qu’on a créé, avec toutes les formations que j’ai données, c’est aussi le temps de voir si on aura réussi à laisser une trace. Parce si dans le domaine du plein-air, il faut s’appliquer à mettre en pratique la philosophie « Leave no trace » (ne pas laisser d’empreinte de notre passage), en coopération volontaire on veut plutôt laisser une trace, laisser « un quelque chose » qui aura peut-être une influence sur le parcours des gens, des communautés qu’on a voulu aider. Regard sur ce rendez-vous qui se termine, « rendez-vous du donner et du recevoir ». La suite
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